Une couleur bien sombre grâce au Mourvèdre, les nuances commencent devenir briquet. Une larme lente, dense et colorée. Au nez une très belle complexité melangeant les fruits noirs murs avec une palette aromatique issue de son élevage de 22 mois dans vanks de chêne sur la commune de Faqra. Des notes d'eucalypte, herbes méditeranéennes se font accompagne des touches d'épice noire. Une entrée en bouche ronde et ample. Une suivie gourmande typé Garnacha, de superbe équilibre entre la fraîcheur et la puissance. Une belle structure d'une texture soyeuse incroyable. Il y a aussi la predominance des fruits noirs macérés en liqueur. Ses 14'5% font deux degrés moins facilement. Finale empyreumatique, épicée et longue faisant les délices des amateurs des rouges d'hiver.
Si Jesus avait gouté Massaya aujourd'hui tout la planète serait Chrétien, mais on va pas pleurer, on va remercier les habitants historiques du Mont Liban qui ont continué faisant vin lors de l'occupation ottomane. Il faut rappeller que l'histoire de la République Libanaise garde des évenement qu'ont marqué son présent. C'est pourquoi le mérite est double, car malgré toute la violence y vécue certains personnes comme Sami Ghosn (et son équipe) ont réussi des grandes produits d'énorme qualité. Son prix de 27 euros en France est justifié. Comme accords on pourrait chercher la tradition avec des Kefta libanais au boeuf à la menthe et cumin. Un match encore méditerranéen un Filet de porc Corse, vélours de foie gras et giroles. Aussi recomendable un Boeuf, betterave, bobotie, patate douce et chou-fleur. Amen!!!!!
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