Quant on parle des vins de Provence on imagine presque toujours de vins charnus, puissants et sur la concentration. Oui, cela arrive ausssi avec les vins du Languedoc, Rhône-sud ou d'Aragon en Espagne. La géographie des Côtes de Provence offre l'oportunité de quitter les profils ardents grâce l'Esterel, faisant retrouver des maturités plus douces et garder les composés plus intéressants. Une fois en cave (Luc-en-Provence), une équipe prodigieuse guidée par M. Foellner est capable de fondre la richesse du Syrah avec la charpente du Cabernet pour réussir cette marveille.
Une moyenne opacité déjà au verre. Au nez que du fruit (mure, framboise, cassis...) accompagné après pour des notes lactiques, violette et d'épices à l'évolution, Très bonne intensité. En bouche une entrée vive et ample. La suivie d'une grande fraîcheur éclipsant la chaleur (14'5 % vol.). La tension, la soyeusité et l'intensité sont les protagonistes. Que du fruit fraîche en clef d'ampleur. À la fin il y a la chaleur qui arrive toujours en mésure et accompagnée d'un tannin fondu et agréable.
Médaille d'Or au Concours International de Lyon en 2018 bien mértitée à mon avis étant donnée les sansations expliquées et surtout comment soumettent la teneur alcoolique. Le rapport qualité prix est magnifique parce qu'il reste en 9 euros tout seulement. À votre portée si vous visitez le coeur du Var: ici c'est posible visiter la Voie Aurélienne et pas très loin le canyon du Verdon ou la chapelle ND des Anges qui culmine a 780 m. Comme accord un Carré d'Agneau aux herbes des champs, mijoté dans son jus car le Paradis n'est pas dans le ciel.
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